La politique que nous suivons reste la suivante:
"Chaque goute compte"
Si nous suivons cette politique, eventuellement nous pourions revoir naître les ruisseaux qui jadis coulaient là ou se situent les differentes bajadas de la Costa Verde et cultiver en leurs bordure respective. (Soit dit en passant. Nous apuyons le projet "Rio Verde" qui consiste a creer un parc en bordure du Rimac.) Une liste non exhaustive, des plantes, arbustes et arbres cultivables dans la region est disponible sur ce blog.
La politique alimentaire est la suivante.
"Chaque petit pois compte"
Je ne crois pas qu´il puisse s´agir d´un état independant et autonome. Nous avons quelque mines dans la region mais nous aurons peut-être recours a des ressources vennant d´autres regions du Pérou voir, sans doute, du monde. Les autres régions Péruviennes suiveront la même logique de "bassin versant". On oublie donc les "provincias" actuelles.
Le territoire est assez vaste et comme nous sommes aussi des adeptes des transports zero-emmissions, pour l´instant nous limitons notre zone d´action a un secteur reduit. C´est à dire, pour moi, une zone atteignable à pied (Au passage je mentionne notre campagne du "Pieton Roi") ou en velo, formant un cercle d´une 15aine de km de diamètre autour du QG et l´axe suivant le corridor de la ligne 1 du train electrique. Zone delimitée par les lignes noires. le cercle plus ample prend en compte une eventuelle "pernocation". CAD sans aller retour dans la journée au QG. (Mon apartement 😃)
Si nous incorporons à notre flotte actuelle, des vehicules terrestres electriques ou peut-être des vehicules à hydrogene, nous pourrions eventuellement rallier des point aussi eloignés que Ticlio ou Marcahuasi.
Là encore. Vous avez la parole. Les commentaires sont activés.
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